• On vient d'en faire les frais avec plus de peur que de mal mais ça aurait pu être grave.

    Attention

    Il est très facile pour un enfant de 3 ans  (de moins ou de plus de 3 ans aussi) d'avaler une pièce de monnaie.

    Les conséquences peuvent être grave.

    Maintenant, chez nous la tirelire n'est plus en accès libre, ni son petit porte-monnaie. On aura eu une bonne leçon.

     


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  • Attention : cet article est bien spécifique parce qu'il fonctionne pour moi mais si on lit des livres ou des sites sur l'allaitement mixte, il y a des risques de voir son allaitement s’arrêter plus vite que prévu. Il faut donc faire un allaitement mixte en toute connaissance de cause.

    A partir des trois mois de ma deuxième fille, j'ai eu une baisse de lait (cf. les articles précédents : Relancer la lactation), je n'en connais pas vraiment la cause mais j'ai supposé que c'était lié à la pose de mon stérilet. J'ai réussi à remonter ma lactation mais nous avions quand même eu besoin d'introduire un biberon le soir car ma fille ne semblait pas rassasiée et avait donc beaucoup de mal à s'endormir le soir. Je suis repassé en exclusif quelques jours puis finalement nous avons pris la décision de faire un allaitement mixte.

    Mon allaitement mixe et son déroulement :

    Depuis un mois petit à petit, nous avons remplacé les tétées avec le sein par des biberons de lait industriel. Au départ, c'était pour compléter ma baisse de lait (théorique, j'avais du lait mais le soir ma fille avait du mal à téter, s'agaçait sur le sein et s'endormait tard en pleurant pas mal). Nous avons alors décidé d'ajouter un biberon le soir ou quand on pensait qu'elle n'avait pas eu assez de lait avec le sein. Puis finalement, nous avons décidé de faire un allaitement mixte qui allait aboutir à un sevrage (en préparation de ma reprise du travail).

    L''allaitement mixte - phase 1 - concrètement

    A son réveil (je suis à la maison pour l'instant donc c'est son réveil à elle), on va dire en début de matinée (depuis 3 mois, les "vraies nuits", celles attendues par les parents ont commencées) car ça pouvait varier de 5h à 10h en fonction de son coucher.

    Le matin à son réveil : Tétée exclusivement avec le sein, au début un seul sein suffisait mais rapidement je donnais les deux. Aucun problème, elle mangeait et prenait très bien et étaient rassasiée. J'avais un bon débit et les seins bien gorgés. Le lait arrivait rapidement au grand plaisir de ma fille.

    En fin de matinée/ entre midi et deux, deuxième tétée avec exclusivement le sein., comme celle du matin mais avec un peu moins de débit et de vitesse.

    Vers 15h/16h, tétée au sein mais complétée par un biberon si besoin et si je m'absentais mon mari pouvait donner un biberon de lait industriel (ça m'a changé la vie, j'ai eu un peu de temps à moi, certain(e)s ne le comprendront peut-être pas mais j'en avais besoin et mon mari aussi d'ailleurs.)

    En début de soirée, entre 18h et 20h, quatrième tétée (dernière ou avant dernière tétée), au sein avec les deux (pour garder un stimulation plus que pour nourrir) mais rapidement complétée par un biberon. Si besoin le soir je redonnais le sein à ma fille si elle râlait un peu trop avant de dormir : pour la soif (en période de chaleur) et pour le câlin.

    Puis petit à petit on a remplacé des tétées par des biberons, souvent en fonction de mes déplacements (si je m'absente) et en fonction des demandes de ma fille après une tétée.

    Nous sommes maintenant plus en biberon qu'avec le sein.

    Car petit à petit, on remplace les tétées avec le sein par des tétées avec des biberons.

    En ce moment concrètement : vers le sevrage définitif

    Tétée du matin : toujours 100% sein, grand moment de plaisir que je savoure.

    Tétée du midi : sein de temps en temps, mais de plus en plus un biberon

    Tétée de l'après-midi : très souvent le biberon (j'en profite pour faire des sorties à ce moment-là avec ma fille ainée ou des sorties pour moi)

    Tétée du soir : seins (pour le plaisir et maintenir encore un peu de lactation) et systématiquement complétée par un biberon.

    Pour l'instant, j'ai encore du lait mais je sens bien que ma lactation diminue. Mais garder une minimum de lactation me rend bien des services :

    - lorsque ma fille a soif ou faim et que l'on est partie sans biberon.

    - lorsque le soir, elle a du mal à s'endormir avec la chaleur, je lui donne le sein.

    - lorsque j'ai envie d'un moment particulièrement doux avec ma fille.

    Pour nous, cette solution a amené un équilibre dans la famille. Mon mari peut participer et me relayer très souvent. Ma fille ainée peut profiter plus de moi et peut préparer la biberon (elle le remue) et le donner un peu à sa sœur. Je me sens plus libre et détendue, je peux m'accorder des temps libres en dehors de la maison. Et surtout, le choc du sevrage est très progressif et passe en douceur surtout pour moi!

     

     

     

     


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  • C'est le moment! Top départ et je vous donnerai les résultats au fur et à mesure.

    Voilà quatre mois que j'ai accouché et je suis toujours au même poids, un poids qui est trop important et j'en vois bien les conséquences. Je suis rapidement essoufflée, j'ai mal aux articulations et au dos, je me sens lourde. Je ne me plais pas avec ce corps un peu trop rond, j'aime bien les rondeurs mais il y a des limites et je suis arrivée à cette limite où je dois retrouver mon poids de forme (je n'ai pas dit poids idéal ou IMC normal). Je souhaite trouver mon poids de forme c'est-à-dire celui où je me sens le mieux sans chercher absolument la norme. Un poids que je pourrais définitivement stabiliser chose que je n'ai encore jamais fait et que je compte bien découvrir (ce qui était l'objet premier de ce blog d'ailleurs). Je pense qu'il se situe environ à -19 kilos. De plus, la norme imposée  ne me correspondrait pas avec mon mètre 83 et ma stature carrée, et quelques rondeurs ne me déplaisent pas non plus tant que je suis bien dans mes habits, mes baskets et surtout dans ma tête.

    Mon allaitement est en train de prendre fin petit à petit. Je ne veux pas passer par un régime restrictif. Mais il faut quand même que je trouve une solution.

    J'ai la solution mais maintenant il ne reste plus qu'à la mettre en application.

    Je vais revenir à des portions raisonnables tout au long de mes repas et aux règles de base.

    Le petit-déjeuner

    Depuis le début de ma grossesse et jusqu'à maintenant je faisais des petits déjeuners gargantuesques. Je vais donc revenir à un petit déjeuner plus raisonnable. Il faut qu'il me permette de tenir jusqu'à midi mais mon objectif est aussi d'avoir faim à midi et bien faim.

    Donc : suppression des surplus, le chocolat, les gâteaux, et trop de tartines que j'ajoutais très souvent (pas tout en même temps mais une fois l'un une fois l'autre).

    Je garde mon ricoré avec du lait, quatre biscottes ou autres types de biscottes ou deux bonnes tranches de pain ou deux tranches de pain de mie avec beurre et confiture avec obligation de le manger lentement et de le faire pendant un moment calme. (avant le réveil des filles par exemple).

    Le repas du midi

    Je mange en général trop vite le repas du midi et me ressers du plat principal facilement. Je mange beaucoup de pain et systématiquement du fromage et un dessert (souvent glace, crème dessert).

    Donc manger plus lentement pour ne pas avoir à me resservir. Choisir entre fromage ou dessert si le repas est déjà copieux. Diminuer le pain et surtout mâcher et vider ma bouche avant de mettre une autre bouchée. Boire (je bois beaucoup entre les repas mais peu pendant). Rechercher le moment de satiété et ne pas forcer au delà par gourmandise. Rendre plus rare le chocolat avec le café et le garder pour le goûter si une grosse envie est là.

    Le goûter

    Je goûte systématiquement avec ma fille sans forcément en avoir besoin tout le temps, plutôt par gourmandise (c'est l'heure des friandises et pour moi ce moment est un moment de plaisir familial depuis l'enfance). Et bien évidemment je ne choisis pas un fruit (vous me comprenez je pense)

    Donc je vais m'autoriser un goûter si j'en ai envie mais ne pas en faire un repas et surtout trouver le moyen d'avoir encore faim pour le diner. Si je n'ai vraiment pas faim au goûter, je vais devoir résister et ne pas le prendre. Si je goûte et que je me coupe la faim je vais manger au diner alors c'est bien le goûter que je dois réguler voire supprimer pour avoir faim à l'heure du diner.

    Le diner

    C'est mon repas défouloir, celui où je dérape forcément ou je mange sans faim très facilement.

    Donc, je vais faire comme le midi, ralentir, moins me resservir mais surtout veiller à rester sous contrôle pour ce repas.

    Je pense aussi qu'il va être nécessaire que je reprenne une activité physique, je suis en train de chercher laquelle pour septembre.

    Tout ça est à suivre et je vous ferai par de mon évolution positive mais aussi négative si c'est le cas.

    - Prochain article : De l'allaitement mixte au sevrage et/ou ma découverte littéraire : La couleur des sentiments

     

     

     


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  • Bonjour à tous,

    Pouvez-vous me dire en commentaire quels articles vous intéressent quand vous venez sur mon blog? Ou qu'est-ce qui vous a fait venir sur le blog? Ou qui vous a fait repartir?

    Merci merci!


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  • Page générale sur l'ensemble du blog : la grande machin(e) pas totalement en équilibre.

    ICI

    Page plus spécifique : Stop au régime.

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