• Cette année, je me suis décidée, je vais au salon des grands qui est organisé à Paris. Cela fait plusieurs années que je voulais y aller et j'ai enfin acheté mes billets d'avion (j'ai fait le choix de l'avion car finalement cela me revient moins cher que le train et c'est plus rapide sur un weekend).

    Le salon aura lieu le samedi 2 et le dimanche 3 octobre à l'espace Charenton à Paris. Je vais y aller le samedi.

    Je vous mets le lien du site du salon : ici

    J'espère y découvrir

    -  de nouvelles marques qui produisent des vêtements, chaussures et accessoires pour les grands.

    - y faire mon shopping automne/hiver en direct et non sur le net pour une fois.

    - m'y sentir bien car entouré de personnes de ma taille voire me sentir petite.

    - faire de belles découvertes.

    - vous en faire un compte-rendu détaillé avec plein de nouvelles astuces.

    Bref je me fais une joie de pouvoir y aller et vous en parler!


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  • Mardi 11 août

    Je continue sur ma lancée en essayant de respecter à chaque fois ma faim. Je me sens mieux, plus en accord avec moi même et je sais aussi que la démarche va être très longue, je vais devoir m'armer de patience.

    Les changements sont :

    - je mange moins en quantité grâce au fait d'avoir ralenti le rythme et surtout le fait de vider totalement ma bouche à chaque fois (je le répète mais c'est vraiment énorme la différence).

    - je ne me ressers presque plus

    - mais surtout je me suis aperçue que je n'avais plus faim après le plat, je mangeais donc beaucoup trop et surtout le fromage/pain (presque systématique) et le dessert était de trop.

    Donc : je vais devoir si je veux avoir faim pour un dessert voire pour le fromage et le dessert diminuer l'entrée et le plat. Et aussi, accepter de finir que sur du fromage si je n'ai plus faim après celui-ci.

    - le petit-déjeuner est plus léger et j'ai faim à midi.

    - je ne gère pas encore bien mes sorties au restaurant et reste dans c'est cas-là encore sur les vieilles habitude.

     

     


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  • Vendredi 07 août 2015

    Voilà, je suis en plein dedans et je m'y tiens. Je sens bien que c'est durable et je le souhaite.

    Depuis deux jours, je m'efforce de manger plus lentement en finissant chaque bouchée. Je ne me ressers que rarement. Je bois plus pendant les repas et je mange quand j'ai faim. Et je compte bien que ça devienne un réflexe. Je précise que je mange comme ma famille, je ne veux pas toucher aux types d'aliments que je mange comme on doit le faire lors d'un régime. Il faut que je trouve mon poids d'équilibre avec une alimentation du quotidien parfois équilibrée parfois moins.

    Cela fait du bien de prendre le temps de manger et je me rends compte que je ne dégustais pas les aliments.

    Quelques questions se posent :

    - Dois-je me peser pour avoir quand même une image de mes résultats? Où dois-je me faire confiance et trouver l'équilibre quand mon corps me convient (sachant que je ne me vois pas objectivement dans le miroir). Ne serait-ce pas prendre trop de risques?

    - Dois-je consulter et me faire suivre par quelqu'un qui pourrait m'épauler sachant que je voudrais quelqu'un qui ne me propose surtout pas un régime.

    J'écris ces articles comme un journal car cela me motive de savoir que je peux partager mon expérience. Il y a sûrement un coté narcissique dans ça mais cela m'aide je pense.

    Merci à ceux qui me lisent, n'hésitez pas à laisser un commentaire.


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  • On vient d'en faire les frais avec plus de peur que de mal mais ça aurait pu être grave.

    Attention

    Il est très facile pour un enfant de 3 ans  (de moins ou de plus de 3 ans aussi) d'avaler une pièce de monnaie.

    Les conséquences peuvent être grave.

    Maintenant, chez nous la tirelire n'est plus en accès libre, ni son petit porte-monnaie. On aura eu une bonne leçon.

     


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  • Attention : cet article est bien spécifique parce qu'il fonctionne pour moi mais si on lit des livres ou des sites sur l'allaitement mixte, il y a des risques de voir son allaitement s’arrêter plus vite que prévu. Il faut donc faire un allaitement mixte en toute connaissance de cause.

    A partir des trois mois de ma deuxième fille, j'ai eu une baisse de lait (cf. les articles précédents : Relancer la lactation), je n'en connais pas vraiment la cause mais j'ai supposé que c'était lié à la pose de mon stérilet. J'ai réussi à remonter ma lactation mais nous avions quand même eu besoin d'introduire un biberon le soir car ma fille ne semblait pas rassasiée et avait donc beaucoup de mal à s'endormir le soir. Je suis repassé en exclusif quelques jours puis finalement nous avons pris la décision de faire un allaitement mixte.

    Mon allaitement mixe et son déroulement :

    Depuis un mois petit à petit, nous avons remplacé les tétées avec le sein par des biberons de lait industriel. Au départ, c'était pour compléter ma baisse de lait (théorique, j'avais du lait mais le soir ma fille avait du mal à téter, s'agaçait sur le sein et s'endormait tard en pleurant pas mal). Nous avons alors décidé d'ajouter un biberon le soir ou quand on pensait qu'elle n'avait pas eu assez de lait avec le sein. Puis finalement, nous avons décidé de faire un allaitement mixte qui allait aboutir à un sevrage (en préparation de ma reprise du travail).

    L''allaitement mixte - phase 1 - concrètement

    A son réveil (je suis à la maison pour l'instant donc c'est son réveil à elle), on va dire en début de matinée (depuis 3 mois, les "vraies nuits", celles attendues par les parents ont commencées) car ça pouvait varier de 5h à 10h en fonction de son coucher.

    Le matin à son réveil : Tétée exclusivement avec le sein, au début un seul sein suffisait mais rapidement je donnais les deux. Aucun problème, elle mangeait et prenait très bien et étaient rassasiée. J'avais un bon débit et les seins bien gorgés. Le lait arrivait rapidement au grand plaisir de ma fille.

    En fin de matinée/ entre midi et deux, deuxième tétée avec exclusivement le sein., comme celle du matin mais avec un peu moins de débit et de vitesse.

    Vers 15h/16h, tétée au sein mais complétée par un biberon si besoin et si je m'absentais mon mari pouvait donner un biberon de lait industriel (ça m'a changé la vie, j'ai eu un peu de temps à moi, certain(e)s ne le comprendront peut-être pas mais j'en avais besoin et mon mari aussi d'ailleurs.)

    En début de soirée, entre 18h et 20h, quatrième tétée (dernière ou avant dernière tétée), au sein avec les deux (pour garder un stimulation plus que pour nourrir) mais rapidement complétée par un biberon. Si besoin le soir je redonnais le sein à ma fille si elle râlait un peu trop avant de dormir : pour la soif (en période de chaleur) et pour le câlin.

    Puis petit à petit on a remplacé des tétées par des biberons, souvent en fonction de mes déplacements (si je m'absente) et en fonction des demandes de ma fille après une tétée.

    Nous sommes maintenant plus en biberon qu'avec le sein.

    Car petit à petit, on remplace les tétées avec le sein par des tétées avec des biberons.

    En ce moment concrètement : vers le sevrage définitif

    Tétée du matin : toujours 100% sein, grand moment de plaisir que je savoure.

    Tétée du midi : sein de temps en temps, mais de plus en plus un biberon

    Tétée de l'après-midi : très souvent le biberon (j'en profite pour faire des sorties à ce moment-là avec ma fille ainée ou des sorties pour moi)

    Tétée du soir : seins (pour le plaisir et maintenir encore un peu de lactation) et systématiquement complétée par un biberon.

    Pour l'instant, j'ai encore du lait mais je sens bien que ma lactation diminue. Mais garder une minimum de lactation me rend bien des services :

    - lorsque ma fille a soif ou faim et que l'on est partie sans biberon.

    - lorsque le soir, elle a du mal à s'endormir avec la chaleur, je lui donne le sein.

    - lorsque j'ai envie d'un moment particulièrement doux avec ma fille.

    Pour nous, cette solution a amené un équilibre dans la famille. Mon mari peut participer et me relayer très souvent. Ma fille ainée peut profiter plus de moi et peut préparer la biberon (elle le remue) et le donner un peu à sa sœur. Je me sens plus libre et détendue, je peux m'accorder des temps libres en dehors de la maison. Et surtout, le choc du sevrage est très progressif et passe en douceur surtout pour moi!

     

     

     

     


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